
Mythologies Intimes
Antoine HALBWACHS sculptures et Aymery ROLLAND peintures Vernissage de l’exposition vendredi 16 mai de 18h à 21h en présence des artistes. Les rencontres du samedi 17 mai : Antoine Halbwachs de 11h à 16h Aymery Rolland de 15h à 18h30 Galerie ouverte dimanche 18 mai de 14h à 18h Aymery Rolland capte les vibrations de son environnement quotidien, transposant ses émotions sur la toile. Ses œuvres, baignées de couleur, laissent toujours percevoir la force du dessin, comme un fil conducteur. Chaque trait, chaque teinte raconte une histoire, un moment saisi dans l’instantanéité de l’existence, enrichi par des résonances littéraires. C’est une invitation à ressentir, à lire entre les lignes, entre les coups de pinceau. Antoine Halbwachs, quant à lui, façonne des mythologies nouvelles, où hommes et animaux se rencontrent dans un mouvement partagé. Ses œuvres réinterprètent des récits anciens tout en s’enracinant dans des scènes du quotidien : l’éleveur et ses poules. Ses formes sont des prétextes pour organiser un travail de sculpture autour de l’équilibre et du mouvement. À travers la matière, il transcende les gestes et postures ordinaires pour leur insuffler une dimension universelle, quasi intemporelle. Tous deux explorent, chacun à sa manière, les liens subtils entre le réel et l’imaginaire, entre le tangible et l’émotionnel. L’un dessine les couleurs de l’intime ; l’autre sculpte les mouvements du monde. Ensemble, ils nous invitent à plonger dans des « mythologies intimes », où nos propres histoires et interprétations se mêlent à leurs œuvres.

Group Show de printemps
du vendredi 25 avril au samedi 10 mai 2025 J’ai le plaisir de recevoir la nouvelle série d’oeuvres quantiques de Klaus Kadel à la galerie pour 3 semaines. Ces sérigraphies partagent les murs avec une sélection d’oeuvres de Valérie Graftieaux, Guy Denning, Thomas Henriot Jean-pierre Pincemin, Bram Van Velde et Franco Salas Borquez, jusqu’au 10 mai.

Guy Denning
Vernissage vendredi 28 février 2025 de 18h à 20h30 en présence de l’artiste. Rencontre avec Guy Denning samedi 1er mars de 15h à 18h30. La galerie sera ouverte dimanche 2 mars de 14h à 18h Né en Angleterre en 1965 Guy Denning est un peintre street-art autodidacte. En 2007 l’artiste s’est installé en France pour des raisons politiques et se consacrer entièrement à la peinture. Depuis ses débuts il développe un style figuratif très engagé autour de sujets de société où se mélangent discours politiques et chimères. Ses peintures et dessins associés à des textes sont d’une expressivité unique et puissante, d’inspiration punk mais aussi de grands maîtres classiques qu’il admire tels Rembrandt, Goya, Schiele, Bacon ou Kollwitz. Les oeuvres de Guy Denning sont exposées régulièrement en Europe et aux États-Unis, et font partie de nombreuses collections publiques et privées.

Ji-Young Demol-Park – ENCRES deux pays
Des massifs coréens au Mont-Blanc, en passant par les forêts, Ji-Young Demol Park nous invite à un voyage pictural où se rencontrent la culture coréenne de son enfance et les influences occidentales qui ont nourri son art depuis son installation en Europe il y a plus de 25 ans. Témoignant de ce dialogue entre ses racines asiatiques et son immersion dans l’Occident, elle crée une esthétique singulière, fruit de ce métissage culturel. La série de tableaux exposée à la galerie, réalisée à l’encre et à l’aquarelle, transmet bien plus qu’elle ne représente. Elle suggère la sérénité et la fascination que la nature et ses éléments lui inspirent. Grâce à un subtil équilibre entre les blancs, les lavis éthérés et les traits précis tracés au calame, elle offre au spectateur une œuvre contemplative et sensorielle, d’une esthétique rare. Une exposition à découvrir sans modération. Le travail de Ji-Young Demol Park est présenté de part le monde (Corée, Japon, Europe…) depuis 1990 et reçoit une reconnaissance croissante avec les années. Le musée du Léman à Nyon en Suisse a fait l’acquisition de plusieurs œuvres et lui a consacré une exposition en 2020. Autres expositions personnelles marquantes : 2018 au Muséum de Nancy, 2019 au Muséum d’Histoire Naturelle de Neuchâtel en Suisse, 2022 au Musée Hébert à La Tronche-Grenoble. Son œuvre a également pris place en mars 2024, à la Fondation Baur, Musée des arts d’Extrême-Orient à Genève. Née en Corée du Sud en 1970, j’ai commencé à dessiner très petite et reproduisais les illustrations des livres que mes frères et ma sœur lisaient, alors que je ne savais pas encore écrire. De retour d’un voyage en Europe, mon père m’offrit des livres et diapositives sur les musées occidentaux. Ce fut alors une révélation qui m’amena plus tard a faire des études artistiques

GRETEL WEYER – Lui séduit, elle inquiète.
Vernissage vendredi 6 septembre 2024 de 18h à 21h en présence de l’artiste. Une exposition scénographiée par Gretel Weyer autour de la collection d’un couple imaginaire, vous fait entrer dans l’univers à la fois séduisant et inquiétant d’un appartement particulier. Céramiques, dessins, gravures. ENFANCE DE L’ART Les dessins et peintures de Gretel Weyer sont traversés de farandoles d’enfants sages et de rondes de petites filles modèles. Dans l’exubérance de leurs couleurs et sur leurs surfaces construites comme des pochoirs, transitent le loup, l’ours et l’ogre, et toutes les figures à la fois rassurantes et menaçantes des contes. Dans son travail de sculpture, Gretel Weyer transforme des objets simples et du quotidien en des situations fantastiques qui sont comme autant de déclencheurs d’imaginaire. Tout ce travail pourrait ainsi passer pour une célébration joyeuse de l’enfance et de l’innocence, dans une atmosphère de fable, sur fond d’une nature oscillant entre la forêt profonde des origines et le jardin enchanté, et dans une iconographie familière qui emprunte autant à l’imagerie populaire qu’aux décors d’une littérature sociale et réaliste à la Mark Twain. Mais trop de lieux communs aussi délibérément affichés nuisent à la bienséance ! Dans leur dos, les petites filles mutines dissimulent de lourdes haches, leur visage se révèle une béance aveugle, loup et ours ne sont que des marionnettes défroquées et abandonnées sur un banc. Les clins d’œil aux situations cocasses à la Méliès sont fragiles, et derrière la légèreté pointent l’inquiétude et la menace d’une violence latente, qui évoquerait davantage les suspens cinématographiques de Stanley Kubrick et de Gus van Sant. Dans Psychanalyse des contes de fées (1976), le psychanalyste américain Bruno Bettelheim explique que « Pour ceux qui se plongent dans ce que le conte de fées a à communiquer, il devient un lac paisible qui semble d’abord

La couleur de l’été
LA COULEUR DE L’ÉTÉ groupshow estival jusqu’au 30 aout Retrouver vos artistes préférés dans cette sélection estivale et inédite à déguster à l’envie. Rose-Marie Crespin, Solène Dumas, Delphine Grandvaux, Valérie Graftieaux, Antoine Halbwachs, Françoise Ferreux, Franco Salas Borquez, Thomas Henriot, Jérôme Pergolesi, Corine Albrecht, Marielle Paul, Mathieu Schmitt et Bélem Julien. Et les estampes de : Bram van Velde, Frédéric Poincelet, Jean-Pierre Pincement, Pierre Alechinsky.

LA FABRIQUE DE FABLES – Françoise Ferreux, Delphine Grandvaux, Bélem Julien, Mathieu Schmitt
Vernissage vendredi 17 mai 2024 de 18h à 20h30 en présence de Delphine Grandvaux Rencontre avec Francoise Ferreux samedi 18 mai de 15h à 18h Ouverture exceptionnelle de la galerie dimanche 18 mai de 14h à 18h Le fil, la trame, le geste et le temps, forment le vocabulaire commun de ces quatre artistes. Il en émergent des récits graphiques et poétiques où la nature s’invente comme une fable. Françoise Ferreux dessine au feutre et sculpte le fil de lin. Depuis de nombreuses années, avec lenteur et minutie, en répétant inlassablement ses gestes elle crée et imagine une collection de plantes et de minéraux. Delphine Grandvaux sculpte le fil de fer. Á partir d’une pratique longue aux gestes répétitifs, les volumes fragiles et transparents se déploient. La lumière y pénètre et crée leur respiration. Son univers magique et graphique est un véritable écosystème. Les Petits Traits : Belem Julien et Mathieu Schmitt, dessinent des petits traits à 4 mains. Ils répetent, au fil de leur imagination, le même geste simple. Cette répétition et la concentration presque hypnotique qu’elle induit, engendre l’imprévu d’une nature foisonnante et fantastique.

Les jours – Thomas Henriot
vernissage vendredi 15 mars 2024 de 18h à 20h 30 en présence de l’artiste Exposition du 16 mars au 27 avril 2024 L’ exposition Les jours est la seconde exposition monographique de Thomas Henriot à la galerie, après Broken Paradise en janvier 2022. Elle met en scène des oeuvres inédites créées à La Havane les six derniers mois. « Le chapitre d’un roman de Virginia Woolf. Les années, les jours, les heures, seraient tous idéalement employés au dessin. Rien d’autre. Regarder sur le visage des instants qui s’écoulent les contours du monde, ses enluminures, et dans l’observation prolongée en suivre les ondoiements. S’enfoncer dans ses profondeurs. Comme chez Reinaldo Arenas, Avant la nuit, le dessin se déroule au cours de journées longues, à l’ombre des arbres ou bien en plein soleil. Ce qui importe c’est d’être ici, pour voir et entendre, et sentir. Je dessine tout car je sais que tout va disparaitre. Peu importe que le dessin ait quelque chose à voir avec son motif : il faut aller au-delà de lui, dans ces passages dont à travers les heures, et les jours, on trouve le secret. Peindre est un rituel, une liturgie, une discipline, une répétition : se lever à l’aube, partir jusqu’au lieu choisi, faire ce parcours, ce même itinéraire, chaque jour. La série de dessins Les jours s’effeuille comme les pages d’un roman, qui raconterait l’aventure inouïe de peindre. Ces rythmes nous font entendre des voix inconnues, lointaines, reconnues. Et soudain on plonge dans les yeux des arbres et on glisse les doigts dans leurs blessures. Et le dessin s’élève du sol, comme un chant entonnant son récit émerveillé et cruel. » Thomas Henriot

La révolte du Vent – Franco Salas-Borquez
vernissage vendredi 19 janvier 2024 de 18h à 20h30 en présence de l’artiste Franco Salas-Borquez sera présent samedi de 14h à 18h ouverture exceptionnelle dimanche 21 janvier de 15h à 18h Exposition du 20 janvier au 9 mars 2024 Né au sud austral du Chili, sur l’île de Chiloé en 1979, Franco Salas-Borquez vit et travaille en France. L’artiste considère l’évocation de la mer comme un défi à relever et « la peinture comme un langage subtil et symbolique où la force de la nature se mêle à sa propre vie, par le chaos des gestes, dans un ordre en constant paradoxe.» «La limite de la réinterprétation de la mer attire mon attention comme un jeu d’échecs : toujours les mêmes éléments mais une infinité de possibilités. Cette idée est l’axe central de mon travail aujourd’hui, au-delà du fait d’être né dans une famille de marins. Sans doute cet élément, la mer, est inconsciemment à la base de mon expression.» Franco Salas-Borquez recrée sans cesse l’envoûtante force des vagues, errantes, puissantes, rebelles et infiniment libres ! Ses œuvres font partie des collections privées et publiques des deux côtés de l’Atlantique.

À Fleur de regard/Monde imaginaire – VALÉRIE GRAFTIEAUX
vernissage de vendredi 1er décembre 2023 de 18h à 20h30 en présence de l’artiste Exposition du 2 décembre au 13 janvier 2024 Photographe et plasticienne Valérie Graftieaux tisse patiemment depuis 25 ans, une œuvre qui va au-delà du regard. À partir de simples objets naturels ou manufacturés, elle propose des images photographiques ou dessinées dont la lecture est ouverte, multiple et intrigante : une lame de couteau devient une fenêtre sur un paysage, un clavier de piano révèle le fantôme des doigts qui viennent de jouer une mélodie. Son travail est un éloge de la curiosité, où le spectateur prend toute sa place quand il imagine et se raconte sa propre histoire devant les œuvres. Les objets du quotidien ont alors un autre relief, dans une alchimie qui mélange simplicité et raffinement. Rien d’étonnant à ce que la photographie soit son médium de prédilection : c’est une matière photosensible. Un écran qui tient de la révélation, qui ne constate pas la réalité mais qui l’invente. Les yeux de Valérie Graftieaux caressent le monde et révèlent un univers de poésie et d’histoires, à fleur de regard.

Foire d’art contemporain ST’ART Strasbourg
Cette année nous faisons notre grand retour à St’art avec une exposition collective de 9 artistes : dessins, peintures, photographies, sculptures Retrouvez-nous STAND 2D01 Franco SALAZ BORQUEZ Solène DUMAS ROSE-MARIE CRESPIN Valérie GRAFTIEAUX Antoine HALBWACHS Thomas HENRIOT Tina MÉRANDON Jérôme PERGOLESI Reza SEYFI ZOUBARAN VERNISSAGE (UNIQUEMENT SUR INVITATION) Jeudi 23 novembre 2023 de 15h à 22h OUVERTURE AU PUBLIC Du 24 au 26 novembre 2023 Vendredi 24 novembre : 11h – 20h Samedi 25 novembre : 11h – 20h Dimanche 26 novembre : 11h – 20h LIEU NOUVEAU PARC DES EXPOSITIONS Hall 2 et 3 Avenue Herrenschmidt 67000 STRASBOURG

BONDIR ET RÊVER TINA MERANDON
Vernissage vendredi 29 septembre de 14h à 21h l’artiste sera présente vendredi et samedi après-midi Bondir est l’acte énergique de sauter, s’élever vers le haut avec enthousiasme, c’est une réaction au danger ou un acte joyeux tandis que rêver se rapporte à l’activité mentale du sommeil, cela peut être effrayant, fantastique, ou correspondre aux aspirations et désirs profonds que l’on a en état d’éveil. Tina Merandon est artiste photographe, elle travaille à Paris depuis plusieurs années sur la thématique de l’enfance et de l’animal. L’exposition s’articule autour de deux séries de photographies d’enfants prises dans la vivacité de leurs interactions : Anima et Les petites danseuses. La série consacrée aux enfants et aux animaux nous montre la vivacité inhérente à l’enfance, une fulgurance charnelle, débordante d’énergie mais aussi des moments de grâce inédits où le corps de l’enfant et celui de son animal semblent se fondre pour mieux affronter la vie. C’est l’invention d’un nouvel être hybride et féérique : l’enfant-animal. Les petites danseuses, pieds nus, s’élancent rageusement et improvisent leur propre espace dans un monde réinventé. Une tendance à l’abstraction en inscrivant ces corps et leur gestuelle débridée sur des fonds aux couleurs acidulées. Le travail de Tina Merandon explore la relation à l’autre, les échanges et les confrontations prenant la forme d’une chorégraphie improvisée. Son parcours de photographe se nourrit souvent de résidences de création et du lien tissé avec les territoires et ses habitants. En perpétuelle recherche plastique, elle travaille la couleur et le langage corporel vers des formes abstraites ou graphiques. Tout est lié au corps, à la peau, à la gestuelle qu’elle soit animale ou humaine. L’animal traverse toujours son corpus mais toujours en lien avec l’homme, la relation formant le sujet central. Tina Merandon a travaillé récemment en résidence territoire à Château-Thierry : une